Scènes belges: Que pensez-vous de l’Europe ?
Die ! die ! die !: Nous apprécions beaucoup l’Europe. Très bonnes bières, bonnes routes et des gens très gentils ! Les gens ne calculent pas, ici.
SB: Comment définissez-vous votre son ? Quel type de musiques faites-vous ?
DDD: Punk rock – noisy rock. Des chansons pop avec des instruments très bruyants. C’est tout ce que j’aime. C’est une bonne description…
SB: Les gens disent que vous êtes fantastiques sur scène, que vous bougez bien.
DDD: Nous aimons jouer “live”. Nous pensons qu’il est important d’en donner au public pour son argent et nous faisons tout pour. Nous essayons de donner un bon spectacle… Et pour cela, nous sommes prêts à tout, sauf à un spectacle de cirque !
SB: De quoi se compose votre son: amplificateurs, guitares, effets ?
DDD: J’utilise une Rickenbacker, et la Nouvelle-Zélande produit d’excellentes pédales d’effet: “Hot Cake”. J’adore la distortion ! Je suis un grand fan de la “mauvaise attitude” apportée par la distortion.
SB: Vous êtes actuellement en tournée en Europe ?
DDD: Oui, nous sommes ici pour un mois, en Italie, en France, Suisse, Suède, Allemagne, Belgique…
SB: Vous défendez actuellement votre quatrième album, “Harmony”.
DDD: Oui, et nous allons prochainement sortir un cinquième album: “Swim”. Notre set comprend actuellement un mix de l’ensemble de nos albums, et du prochain, déjà. “Harmony” a été enregistré en France. L’album suivant sera différent. Nous avons un nouveau bassiste. Mais l’album sera produit par la même personne.
SB: Vous connaissez la Belgique ?
DDD: Oui , nous sommes super fans de la bière belge, et de toutes les sortes de bières. Les bières néozélandaises ne sont pas si bonnes. Un peu étranges, même… Nous sommes venus ici plusieurs fois. L’an passé, nous sommes venus en mars, août et octobre. Nous avons fait le Pukkelpop… Il s’agit d’un festival plus “heavy metal” !
SB: Vous préférez jouer dans des festivals ou dans des endroits plus petits ?
DDD: Nous préférons de plus petites scènes. Nous pouvons y être plus proches du public. Dans les festivals, le public est plus mélangé, et c’est un challenge de les attirer. Il est plus difficile de communiquer notre message dans un festival. Nous sommes de grands fanatiques des petits clubs.
SB: Vous avez commencé en 2003…
DDD: Nous sommes un vieux groupe. Nous avons commencé en 2003, et nous n’avions jamais imaginé aller aussi loin.
SB: Comment est la musique en Nouvelle-Zélande ?
DDD: Un peu différente de la nôtre. Il y a de bons groupes aussi. C’est assez intéressant de comparer avec ce que nous découvrons ici. Le reggae est très populaire chez nous, la hip hop aussi… Et il y a de bons groupes de rock !
SB: Quelles sont vos influences ?
DDD: Le punk-rock, bien sûr, The Smith, Black Flag, …